Vers la République française régénérée

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Accueil Causes imméd. du site Valls, 31 juillet 2016*, veut obliger à la soumission aux mahométans et aux adeptes d'autres religions jéhovites, et il faut combattre cela


VALLS, 31 JUILLET 2016 A.L.P.J.C., VEUT OBLIGER À LA SOUMISSION AUX MAHOMÉTANS ET AUX ADEPTES D’AUTRES RELIGIONS JÉHOVITES, ET IL FAUT COMBATTRE CELA
(Article écrit avec la nouvelle orthographie et qui a peut-être des erreurs, en plus de fautes de français.)

Voici les causes immédiates de la création du présent site.


LA GUERRE ANNONCÉE CLAIREMENT PAR MANUEL VALLS CONTRE LES FRANÇAIS NON-JÉHOVITES ET PEUT-ÊTRE CONTRE CERTAINS JÉHOVITES

Soumettre les Français non-jéhovites à des tyrans jéhovites, tel est le but du pouvoir public français. Il est possible aussi que certains Français jéhovites soient aussi visés par le but de soumission. Sont aussi visés des étrangers qui sont en France et qui sont non-jéhovites ou qui sont dans l’autre catégorie éventuelle venant d’être indiquée.
C’est ce qui résulte d’une déclaration de Manuel Valls, Premier ministre, rapportée dans Le Journal du Dimanche du 31 juillet 2016 après le prétendu Jésus Christ (A.L.P.J.C.) : « Ce rejet insupportable de l’islam et des musulmans, ces paroles, ces actes, tout comme les paroles et les actes antisémites, antichrétiens, doivent être combattus - et ils le sont - avec la plus grande force ».
Valls ne fut pas démenti par ses nombreux soutiens.

Il y a deux aspects.
Valls eut raison concernant ce qui est commun à tous les habitants de France, surtout les attaques physiques contre les personnes et les biens.
Mais il indiqua aussi que les « paroles » contre les religions indiquées ou évoquées devaient être combattues, c’est-à-dire interdites, avec une lutte contre celles qui existent quand même. Ce mot « paroles » ne désigne pas seulement les sons mais aussi les écrits, que ce soit en texte ou en image. Valls veut qu’il n’y ait jamais de reproches et de moqueries adressés aux religions chrétiennes (ou peut-être seulement à la chrétienne papiste), ni à la mahométane, ni à la moïsine, ni à leurs adeptes en tant que tels. La même idée est exprimée par le mot « actes », et ce mot concerne aussi tous les autres actes qui ne relèvent pas des protections communes à tous les habitants de France, surtout les attaques physiques contre les personnes et les biens. Par exemple, une manifestation dans la rue est un de ces « actes » dont Valls veut qu’ils soient interdits.

Lorsque Valls parla d’un combat « avec la plus grande force », il évoqua notamment la force publique qui était déjà employée puisqu’il indiqua « ils le sont » (combattus), pas : ils le seront. Mais son fanatisme religieux le poussera-t-il, en plus de l’oppression juridictionnelle, à recourir à l’oppression notoire policière et militaire, ou à son état pire qu’est la compression !?
Si des policiers et des militaires recevaient l’ordre de lutter contre les Français qui veulent la liberté et l’égalité en droits et qui ne veulent donc pas se soumettre aux tyrans, l’ordre serait manifestement inconstitutionnel, mais est-ce qu’ils obéiraient quand même ? Ceux d’entre eux qui pensent déjà qu’ils ont le devoir d’obéir à tout ordre émit par le supérieur, quoi qu’il soit, ne sont pas dans la réalité juridique, ils se trompent, ils sont déjà dangereux. Ceux d’entre eux qui agiraient d’après l’ordre manifestement inconstitutionnel ne vaudraient pas mieux que ceux de leurs prédécesseurs qui allèrent arrêter des Résistants, des Juifs, etc., durant la Deuxième guerre mondiale, avec les suites de cela. Si l’ordre était donné, ils devraient donc refuser d’obéir, se révolter. Ainsi, commencerait la démarcation entre les partisans de la situation politique oppressive désastreuse en cours et ses opposants, les premiers finissant par être révoqués après le renversement de cette situation.
Mais la situation n’est pas comme cela car il n’y a pas que la Constitution française mais il y a des règles inférieures contraires et des traités internationaux ayant aussi des éléments contraires quoique censés ne pas en avoir.
Après la Révolution française et Napoléon Ier, des États étrangers envahirent militairement la France pour y restaurer la royauté monarchique, dans le régime appelée la Restauration (deux Restaurations successives, en 1814* puis en 1815*, entrecoupées par un bref épisode napoléonien). Les deux frères de Louis XVI y furent successivement rois. Même eux savaient que la nation française n’accepterait pas la réintroduction d’une infraction pénale relative à du blasphème qui impliquerait la tyrannie très forte d’une religion, la papiste, au premier niveau de la législation en matière de croyances comme avant la Révolution française. (La notion de blasphème est interne à des religions et ne signifie rien en-dehors d’elles.) Ça n’empêcha pas la Restauration de créer de la forte tyrannie religieuse. Deux infractions pénales furent créées. En 1819 après le prétendu Jésus Christ (A.L.P.J.C.), ça concerna l’outrage à la morale publique et religieuse. En l’an numéroté 1822 par tyrannie chrétienne (P.T.C.), ça concerna le fait d’outrager ou de tourner en dérision la « religion de l’État », le papisme, et les autres religions reconnues en France par l’État et qui étaient deux protestantismes et l’israélisme. Lorsque les républicains arrivèrent au pouvoir en France en 1879*, précisément avec des restreints dits opportunistes au pouvoir public, ces deux infractions pénales furent supprimées à l’occasion d’une loi de 1881* sur la liberté de la presse. Les opposants aux tyrannies religieuses n’avaient pas attendus cela pour recommencer à dire tout le mal qu’ils pensaient des religions, que ce soit en tant que telles ou en tant que placées dans la vie publique, c’est-à-dire en tant que tyrannies. Presque cent ans plus tard, en 1972*, malgré la Constitution avec notamment sa Déclaration de 1789*, des tyrans religieux réintroduisirent en loi une infraction pénale équivalente aux précédentes mais, trop malhonnêtes pour annoncer la volonté de faire dominer leur religion et, donc, de la faire respecter, de la protéger contre les attaques, contraints d’y associer d’autres religions étatisées, ils s’occupèrent de protéger les adeptes de ces religions contre leurs opposants non-adeptes d’une de celles-ci. Les opposants, déjà opprimés par l’existence des étatisations de religions avec notamment les vues de représentations nauséeuses d’un cadavre en croix, les sonneries de cloches, les discours de développement de tyrannies pour les écraser et mille autres faits, devaient se retrouver en train de devoir s’empêcher d’exprimer leurs réactions face à l’oppression, leurs émotions d’opprimés, leurs conceptions. Mais ce ne fut d’abord pas connu car l’élément tyrannique fut placé dans une loi contre le racisme. Que vaut cette manière de légiférer qui fait que, pour connaitre les règles relatives à des religions, à des croyances, il faille chercher dans une loi annoncée comme concernant autre chose !? Dans toute loi ou autre texte, par exemple relatifs aux sports ou aux parcs naturels peut être placé hypocritement un même élément tyrannique. En plus, avec la Constitution française et sa Déclaration de 1789 A.L.P.J.C., aucun Français sensé, cohérent, n’aurait pu imaginer que la règle tyrannique aurait pu être créée... et conservée lorsqu’elle fut connue. À première vue, ces tyrans de 1972* firent du hors-sujet par rapport à du racisme mais ils savaient qu’un texte visant notoirement à la protection des religions n’auraient pas pu aboutir. Littéralement, ils établirent que chacun des groupes d’adeptes d’une des religions protégées était une race. Tout cela faisait partie du développement des tyrannies religieuses et de celle de la sottise, et elles continuèrent ensuite de s’aggraver. Finalement il y eut des victimes de cette loi moralement criminelle. À propos de cette saleté de 1972 A.L.P.J.C. déshonorante pour la France, on ne sait pas où en est la situation mais on le saura si le présent site internet est attaqué juridictionnellement par des ennemis qui feront révéler la situation.
Des Français naïfs endoctrinés pensent encore qu’il y a une hiérarchie des règles et que, lorsqu’ils agissent conformément aux principes indiqués, tout va bien mais c’est faux. À cause des textes juridiques contradictoires, et de ce qui est ajouté par des déclarations comme celle de Valls, qui n’a aucune valeur juridique mais dont on peut imaginer ce que pourraient en déduire d’autres éléments du pouvoir public, il règne en France, une grande insécurité juridique et une grande absence de sureté.

Selon l’idée de Valls, la ou les religions jéhovites chrétiennes auxquelles il pense et les autres indiquées auraient-elles encore le droit de se dire du mal les unes des autres !? La papiste continuera-t-elle de dire que les religions autres qu’elle-même sont des erreurs sur le chemin qui mène à ce qu’elle considère être la vérité, c’est-à-dire elle-même, le papisme, et que, dans sa société idéale leurs adeptes seraient acceptés mais en recevant de fortes pressions constantes de conversion au papisme !?
En tout cas, les religions jéhovites auxquelles Valls pense continueront de pouvoir critiquer et combattre tout ce qui n’est pas elles-mêmes, notamment l’athéisme, ainsi que l’action du prétendu Satan. Concernant cette action, la position de l’Église papiste, précisément en ce cas, la papauté et ses véritables fidèles, est de considérer que la Révolution française en bloc en fut le résultat notamment ses droits de l’Homme, que la liberté des cultes et autres étaient des vomissures du prétendu enfer, tout comme la notion de séparation de l’État et de son Église (car celle-ci est la seule qui l’intéresse, et elle est probablement très contente de toute idée de séparation entre l’État et toute autre religion). Des papistes de base pensent pouvoir être adeptes de leur religion, c’est-à-dire de son prétendu dieu Dieu, ledit Dieu-le-père, dont un autre nom est Jéhovah, et approuver en même temps la Révolution française, et la République française qui en sortit, la liberté et l’égalité en droits, c’est-à-dire des résultats de l’action du prétendu Satan et, donc, celui-ci. Ils sont dans de l’illusion ! L’explication est qu’ils ne croient pas vraiment à leur religion. Presque tous répètent ce qu’on leur apprit à dire lors de leur endoctrinement dans l’enfance. Il y a beaucoup d’inconscience et c’est naturel pour une religion qui s’est toujours voulu obscurantiste, une religion qui a, à sa base, le refus du développement de la connaissance, de la conscience. (Voir un article du présent site relatif à Proudhon et Bakounine.) Des mahométans expriment matériellement leur opposition au prétendu Satan, représentant de la Révolution française et notamment sa lignée postérieure où il y a les autres régimes de République française, lorsqu’ils vont à La Mecque pour jeter des pierres à un objet qui le représente.
D’un point de vue interne à des religions, les tentacules du monstre Jéhovah s’insinuent partout et enserrent de plus en plus les partisans de la liberté et de l’égalité en droits naturels et leurs conséquences, il les étouffent de plus en plus, les font souffrir sans fin.
D’un point de vue externe aux religions jéhovites, les tentacules de celles-ci s’insinuent partout et enserrent de plus en plus les partisans de la liberté et de l’égalité en droits naturels et leurs conséquences, il les étouffent de plus en plus, les font souffrir sans fin, tant qu’elles sont puissantes. Et elles le sont surtout parce qu’elles sont placées dans la vie publique de pays, c’est-à-dire étatisées.

Des tyrannies religieuses existent en France. Chacune commença d’exister lorsque l’État représentant de la nation française considéra chaque religion concernée comme bonne, opinion qui fut donc imposée instantanément à tous les représentés, c’est-à-dire à tous les membres de la nation française, même ceux qui pensent le contraire. Ce premier élément de tyrannie fut développé ensuite.
Certaines de ces tyrannies, Valls prévoit de les augmenter très fortement. C’est complètement contraire à la liberté et à l’égalité en droits. C’est la République française, sortie de la Révolution française, que Valls et ses innombrables soutiens combattent. Ils sont de la lignée de la Contre-Révolution quoique, dans leur chaos mental où ils sont égarés, ils aient intégré certains aspects véritables de la République française.
Tout n’est pas complètement nouveau. Notamment, Valls avait déjà parlé d’abus de la liberté d’expression là où il n’y avait que son exercice ordinaire, et tout n’est pas connu ici. (Parler de liberté de conscience et de celle d’expression à condition de respecter le tyran, c’est-à-dire : dans le cadre de la tyrannie, est seulement une des définitions modernes de tyrannies.)
Pendant plusieurs décennies de l’avant-dernier siècle, la censure était caricaturée en une femme nommée Anastasie. Elle tenait en main une très grande paire de ciseaux. Le chapeau qui lui est ici préféré est celui à large rebord entourant le visage et qui rétrécissait le champ de vision, comme des œillères d’un cheval mais en moins fort cependant. Pour le censeur Valls, créons le nom Anastasin ou Anastasion ou un autre, et qu’il soit caricaturé. Ne pas oublier d’y joindre l’image de ses principaux collègues, et quelques traits de silhouettes évoquant ses nombreux partisans.
Mais ce n’est pas seulement la censure que Valls représente, c’est tout le jéhovisme, c’est toute la tyrannie jéhovite et sa prétention à augmenter toujours plus, c’est le prétendu Jéhovah. Valls en est un agent, un serviteur.
Valls veut faire pire que censurer, non seulement car il veut empêcher l’existence préalable de tout ce qui pourrait contenir quelque chose à censurer, mais car il veut obliger à la soumission.


CE FAISANT, VALLS ET SES SOUTIENS GOUVERNEMENTAUX SE METTENT AU SERVICE DES MAHOMÉTANS DE FRANCE QUI S’OCCUPENT D’Y CRÉER LEUR TYRANNIE

Le 31 juillet 2016 A.L.P.J.C., Valls s’exprima en se mettant dans la lignée notamment de ladite islamophobie. Il se met à son service, il est à sa botte. C’est certain car c’est de cela qu’il parla en premier par les mots « islam » et « musulmans ». Le soutien au mahométisme ne fut pas nouveau mais, le 31 juillet, il apparut plus clairement qu’avant.
Le mot islamophobie ne concerne pas seulement ce qui est commun à tous les habitants de France, surtout les attaques physiques contre les personnes et les biens. Il désigne tout ce qui est hostile à la religion mahométane, c’est-à-dire au mahométisme, en tant que tel, et aussi en tant que religion reconnue par l’État, c’est-à-dire étatisée, placée dans la vie publique, faisant une tyrannie. Ça concerne donc aussi les mahométans en tant que tels.
En plus, le suffixe phobie désigne une peur irraisonnée de la religion mahométane. Ce n’est pas surtout par peur qu’il y a de l’hostilité au mahométisme. (Celle-ci existe parfois au nom de la domination papiste lorsqu’elle est faite par des papistes, notamment ceux qui n’ont pas encore compris que la Révolution française avait existé et avait détruit la situation qui existait avant. L’hostilité existe parfois au nom de la liberté de conscience et de la République française en général. Est-ce qu’il y a d’autres causes d’hostilité ?) Les mahométans qui médicalisent leurs opposants, en les déclarant malades, les insultent. Ce ne sont pas les mahométans qui inventèrent l’emploi du suffixe phobie de manière mauvaise en politique. Les principaux mots étaient, semble-t-il, xénophobie et homophobie. (Les homosexuels en tout genre qui eurent à souffrir des médecins déclarant l’homosexualité comme étant une maladie auraient dû éviter de prendre le langage des médecins pour dénoncer ce qui relève des ennemis de la liberté et de l’égalité en droit à ce sujet. Le préfixe anti suffisait, comme avant. Cela dit, la situation n’est pas la même pour les mahométans car ils n’ont aucun droit qui soit nié ni, du point de vue de la liberté et de l’égalité en droits, aucun droit à être respectés en tant que tels, et leur religion n’en a aucun non plus. Mais Valls veut en créer, en créer davantage. Est-ce que la nation française lui donna vraiment ce pouvoir ?
Sans s’occuper du mot islamophobie lui-même, l’idée est de vouloir obliger tous les Français qui ne sont pas mahométans à ne jamais rien dire de mal contre la religion mahométane et contre ses adeptes en tant que tels, à ne jamais agir pour exprimer leur opposition. Lidée est celle dobliger les non-mahométans à se soumettre aux mahométans. Ces derniers veulent dominer en France. C’est une très grande tyrannie mahométane qu’ils veulent créer en France.
C’est notoirement contraire aux règles constitutionnelles françaises les plus hautes. Il y a très longtemps que les papistes, les vrais, qui veulent aussi cela à leur profit, n’osaient plus annoncer ainsi directement leur but. Cela dit, après que le mot islamophobie ait été créé, il y eut quelques papistes inconscients qui s’inspirèrent de l’idée mahométane et qui se mirent à parler de christianophobie.

Il y a une association mahométane, au moins une, dont le nom annonce la lutte contre ladite islamophobie. Cette association n’aurait jamais dû pouvoir exister en France. Les fonctionnaires de préfecture qui acceptèrent son dossier de création commirent une faute grave et méritent d’être révoqués.
Cette association ayant été admise comme pouvant exister, lorsque le pouvoir public en eut connaissance, il aurait dû aussitôt la dissoudre comme contraire à l’ordre public français.
Ce pouvoir public était déjà très avili, très égaré dans ses idées corrompues par volonté de favoriser le papisme. Malgré cela, il aurait pu réagir comme venant d’être indiqué. Mais il ne fit rien et tomba donc tomba encore plus bas.
Il fit pire puisqu’il se mit à soutenir le projet de cette association et, en général, la lutte contre ladite islamophobie.
Il y accola d’autres religions jéhovites.

L’existence du concept dislamophobie a un grand intérêt, celui d’avoir révélé le but de tyrannie mahométane en France, qui existait déjà avant car la domination est le but inhérent à la religion mahométane mais, là, il est annoncé clairement.
Est-ce qu’il y eut des mahométans qui perçurent le danger que représentait ce concept pour le mahométisme en France ? En tout cas, tous les mahométans de France peuvent être considérés comme l’approuvant.

Vu ce qu'exprime le mot islamophobie, il est inutile de rapporter ici ce qui existe dans le livre de base de la religion mahométane, le Coran, qui est un programme pour une très forte tyrannie de celle-ci. Il suffit aussi d’évoquer les pays dans lesquels cette religion se retrouva le plus au pouvoir public pour comprendre son but.
La religion mahométane en toutes ses variétés est par nature incompatible avec la République française.

Il ne semble pas que les mahométans rapatriés aient eu le projet de créer une domination mahométane en France. C’est dans la population mahométane immigrée que ça exista. Est-ce que les premiers finirent par rejoindre les autres à propos de tyrannie en France ? En ce pays, il y eut aussi des convertis qui, en tant que tels, sont des zélés.


LA CONQUÊTE MAHOMÉTANE DE LA FRANCE, ELLE SE FAIT NOTAMMENT AUSSI AINSI

Avant le 31 juillet 16, Manuel Valls notamment s’était fait interprète du Coran, en annonçant qu’il y en avait une mauvaise interprétation, et une bonne, la sienne. Ce raisonnement de chef religieux ne vaut rien. De manière générale, il est facile de lire dans ce livre qu’il est un programme pour une tyrannie complète, comme les livres chrétiens de base. Le problème concerne les méthodes pour arriver à cela. Valls se fait juge pouvant décider quelle est la bonne méthode et quelle est la mauvaise.

Avant une certaine époque, les mots mahométan, musulman et islamiste étaient des synonymes exacts.
Puis on put constater que le mot islamiste était employé, sans adjectif, pour désigner seulement des mahométans qui agissaient avec violence pour arriver au pouvoir avec leurs idées religieuses fanatiques et, en France, pour désigner des individus partisans des précédents et notamment des individus commettant des attentats afin de tuer, que ce soit des individus précis ou n’importe qui. (Cette définition ne correspond peut-être pas complètement à ce qui exista mais peu importe car chacun peut comprendre.) Il y a l’équivalent pour le mot islamisme.
Plus tard, ce furent seulement lesdits islamistes radicaux qui furent combattus par le pouvoir public français, comme si le fait d’être seulement islamiste ne l’était plus.
Qui eut le premier l’idée d’employer ainsi les mot islamiste et islamisme ?
En tout cas, c’est destructeur de la langue française et ça rend les textes plus anciens incompréhensibles ou, au moins, ça crée de la difficulté.
Il est probable qu’il y eut le même phénomène que parmi des papistes qui n’aiment pas que, d’après eux, leur religion soit abaissée à n’être qu’une conception avec des conséquences alors que le mot catholicisme fait penser à cela. Ils préfèrent dire l’Église, sans précision puisque, d’après eux, il n’y en a qu’une.
L’emploi du mot islamiste pour désigner les mahométans qui déplaisent est une expression du mahométisme. Par l’emploi de ce mot ainsi, c’est du mahométisme qui arriva au pouvoir en France.
Cette corruption de la langue française est refusée ici. Tous les mahométans sont des musulmans et sont aussi des islamistes. Personnages politiques, journalistes, mahométans hostiles aux attentats, et autres personnes, trouvez un autre mot pour vous exprimer.
Ici, il est préféré dire mahométan, par référence à Mahomet, le fondateur de la religion mahométane, c’est-à-dire le fondateur de ce qui devint des religions mahométanes.

Un élément de la conquête mahométane en France est l’autorisation donnée à des mahométanes portant un voile plus ou moins grand d’accompagner, en tant que parent, des élèves qui sortent en groupe de leur établissement, avec un ou plusieurs responsables de celui-ci. C’est indiquer aux élèves que la religion mahométane est bonne, qu’il est acceptable de porter un tel voile et qu’ils doivent s’habituer à cela. C’est de l’atteinte à la liberté de conscience des élèves non-mahométans et à celle de leurs parents qui sont opposés à cela quelle qu’en soit la cause. Des protestations et sanctions sont légitimes.

Le mot djihadiste est employé par le pouvoir public français de manière péjorative. Le djihad est la guerre de conquête mahométane. Ce fut par des guerres conquérantes que la diffusion du mahométisme commença. Faire une telle guerre est un des devoirs religieux que peut pratiquer un mahométan. Dire de quelqu’un qu’il est un djihadiste signifie qu’il est un bon mahométan, qui décida d’agir par cette voie de la guerre conquérante. Personnages politiques, journalistes, mahométans hostiles aux attentats, et autres personnes, trouvez un autre mot pour vous exprimer.
Chacun a son opinion sur le but de chaque action guerrière conquérante, sur les méthodes employées, etc. L’ensemble de ces actions partout dans le monde a l’apparence de ce qu’on appelle un baroud d’honneur, c’est-à-dire un combat fait par des individus qui savent qu’ils sont vaincus mais qui ont encore la possibilité de commettre quelques actes de combat, quelques actes de violence, soit-disant pour leur honneur.
Une question est de savoir si la guerre conquérante faite par les individus appelés en France djihadistes avec une signification péjorative est efficace ou non.
Pour l’instant la guerre conquérante est efficace indirectement puisque, pour tenter de briser le mouvement guerrier avec notamment des attentats, la réaction du pouvoir public français est d’étatiser davantage le mahométisme (en s’illusionnant à ce sujet), et la déclaration du 31 juillet 16 fait partie de ce mouvement.

La déclaration de Manuel Valls du 31 juillet 16 montre déjà jusqu’où c’est allé en conception et ça continue.

Le nom Syrie est celui d’un État, un État-pays, peu importe pour ici de savoir si la composition de son territoire et sa population fut légitime ou non. L’armée insurrectionnelle qui agit à l’intérieur de ce pays emploie pour se nommer des mots dont l’un est traduit en français par État. Sa situation n’est pas celle où il y a un État-pays avec son État-pouvoir public et ce nom ne lui convient donc pas. Chaque fois que cette armée est désignée en employant notamment le mot État, c’est sa doctrine, son illusion, qui est diffusée. Ça ne devrait pas exister.

La France fait la guerre en Syrie dans le but de contribuer à y établir une tyrannie mahométane, celle de la variété mahométane qui lui fait plaisir, car elle veut se donner du plaisir ainsi. Les Français qui meurent là-bas s’il y en a et les victimes des attentats divers en France qui sont liés à cela sont des victimes de guerre et des victimes au profit du mahométisme, et d’une tyrannie mahométane.


VALLS SE MIT AUSSI AU SERVICE DU PROJET PAPISTE DE TYRANNIE COMPLÈTE EN FRANCE, QUI EST DÉSORMAIS ULTRAMONTAIN

Valls se mit aussi au service du projet papiste de tyrannie complète en France, qui est désormais ultramontain. Ce ne fut pas nouveau mais, le 31 juillet, ça apparut plus clairement qu’avant.
(En Espagne, lorsque les Républicains luttaient contre la tyrannie du système monarchique et celle de la religion papiste, le grand-père de Valls cacha des tyrans membres du clergé papiste et Valls est fier de raconter cela. Est-ce que son grand-père se rallia ensuite à la monarchie restaurée avec le régent fasciste Franco ? Le grand-père lutta contre la République espagnole et Manuel Valls, qui ne connait pas bien l’histoire de la France, lutte contre la République française mais, à cause de son ignorance, de son illusion, de son chaos mental, il pense qu’il la protège tout le temps alors que son action à ce sujet qui existe vraiment est petite.)

Nation française ! Après que de la religion chrétienne ait été placée dans ta vie publique il y a de nombreux siècles, tes rois successifs finirent par savoir que le pape de Rome diffusait une doctrine selon laquelle il leur était supérieur du point de vue politique, qu’ils devaient lui obéir pour tout comme des secrétaires et que, sinon, ils pourraient être remplacés à tout moment par lui. Autrement dit, le projet papal était que le clergé soit l’État, l’État-pouvoir public, le pape trônant. Évidemment, dans cette conception il y avait de nombreuses conséquences.
Cette conception ne faisait pas partie de la religion qui avait été étatisée en France, qui était l’Église étatisée en France, l’Église de France, qui fut donc dite Église (chrétienne catholique romaine) gallicane. Ce mot lain correspond à l’adjectif qualificatif française. Dès que la conception papale fut connue en France, comme en d’autres pays, elle fut considérée hérétique, c’est-à-dire non conforme à la doctrine admise. Son existence en France fut interdite, comme dans les autres pays, et sa diffusion le fut, et ses expressions furent combattues par tous les moyens disponibles. Elle fut dite ultramontaine, mot signifiant : au-delà des monts, au-delà des Alpes, c’est-à-dire à Rome, chez le pape. C’était la doctrine des papes successifs de Rome et venant donc de chez eux.
Cette doctrine interdite fut cependant diffusée en France, surtout par les jésuites et ce fut la grande cause de leur dernière interdiction en ce pays en l’an numéroté 1765 par tyrannie chrétienne.
Dans la fin de la Révolution française, l’Église papiste, la gallicane, existait, et Napoléon Ier lui redonna une forte étatisation qui était cependant très différente d’avant la Révolution puisqu’elle n’existait plus au premier niveau de la législation en matière de croyances : l’État, l’État-pouvoir public, n’était plus interne à cette Église. (Toute doctrine papiste des deux domaines et des deux pouvoirs n’était pas dans la vie publique à ce premier niveau de législation.) Certaines des règles furent nouvelles. Celle concernant la suppression de la lignée des évêques depuis l’origine en les prétendus apôtres du début et son remplacement par l’origine en le pape de Rome semble avoir été la principale à avoir été refusée par une partie de l’Église papiste qui existait en France avant la Révolution française. Elle entra en schisme et fut nommée Petite Église. Elle disparut lorsqu’elle n’eut plus de prêtres.
L’Église papiste qui résulta du rétablissement fait par Napoléon Ier était anti-ultramontaine. Mais, moins elle fut associée au pouvoir public, moins elle avait de causes pour continuer d’être anti-ultramontaine et, en plus, beaucoup de ses membres ne comprenaient pas vraiment ce qui était en jeu. Que ce soit ou non en conséquence d’une compréhension complète, l’Église papiste de France s’ultramontanisa graduellement, malgré les luttes étatiques contre les diffusions d’ultramontanisme, y compris en privant pendant quelques mois les évêques fautifs de leur rémunération (qui était alors donnée par le pouvoir public, c’est-à-dire par les impôts de tous).
En 1869 P.T.C., la papauté annonça qu’un concile existerait bientôt au Vatican. Par ultramontanisme appliqué nouvellement par la papauté, les chefs des États, États-pays, où l’Église papiste était étatisée ne furent pas invités à y participer, alors que, jusqu’alors, ils l’avaient toujours été, chacun en tant que chef d’État ayant étatisé et continuant cela, et en tant que représentants des papistes n’étant pas membres de leur clergé, réunion qui, d’ailleurs, souvent, peut-être toujours, avaient existé avant à la demande de ces chefs. Ainsi seulement, chacun de ces conciles était représentatif de cette Église qui n’est pas composé seulement de son clergé et elle seule avait le pouvoir de modifier les règles. (Le clergé, par prétention, s’accapare le mot Église pour lui-même et ce fut notamment comme cela qu’il ne comprit plus les règles de ce qu’on appelait Église gallicane.) La réunion exista. Parmi ses décisions, il y eut celle du 18 juillet 1870 A.L.P.J.C. par laquelle fut admis le pire de la doctrine ultramontaine. Elle le fut par la déclaration que le pape était infaillible pour certaines de ses décisions.
L’argument de l’infaillibilité était depuis longtemps le dernier argument évoqué par les meilleurs partisans de l’ultramontanisme, c’est-à-dire le papalojésuitisme, pour faire triompher celui-ci : si le pape est infaillible, sa doctrine ultramontaine est la bonne. L’ultramontanisme triompha donc. Le pape Pie IX annonça que la déclaration d’infaillibilité ne changeait rien. Il n’avait raison que de son point de vue puisque cette doctrine existait déjà dans la papauté. Par contre, pour tous les autres États-pays, ça changeait beaucoup. En France, les décisions de la papauté qui étaient contraires aux règles françaises n’étaient pas reçues en France comme faisant partie de l’Église étatisée en ce pays. (Même lorsque les décisions n’étaient apparemment pas contraires et qu’elles étaient acceptées par le pouvoir public français, il y avait toujours une clause disant que, au cas où il y aurait des éléments contraires aux règles de l’Église étatisée, ils n’étaient pas admis.)
Après la décision du 18 juillet 1870*, il y eut l’acceptation tacite par les papistes de base ignorants de leur religion, ce qui, d’un point de vue objectif, valut alors décision par l’Église papiste. Ce fut une nouvelle religion qui naquit ce 18 juillet 1870 P.T.C.
En France, Napoléon III régnait et, avant la prise de la décision dont le projet était connu, il considéra que, puisqu’une séparation de l’État et des religions existait en France, peu importait ce qui se passait à l’intérieur de celles-ci. Une telle séparation existait mais seulement au niveau des principes, sans avoir été exprimée en mots, et avec d’innombrables et énormes éléments contraires. Napoléon III avait joué à cette hypocrisie car il ne voulait pas avoir à affronter la nouvelle doctrine dont la conséquence était l’interdiction de cette religion. Ce refus d’affronter exista aussi en d’autres pays. Ici, on ne sait pas si le Conseil d’État qui se prononçait d’habitude sur ces affaires de réception ou de refus de textes papaux en France se prononça à propos de cette décision du 18 juillet ou si, à cause de la guerre déclarée le lendemain 19 juillet par Napoléon III à la Prusse, et à cause de ses suites, il ne fut pas saisi et ne se prononça donc pas.
Une partie de l’Église papiste qui avait existé jusqu’alors en France depuis le rétablissement effectué par Napoléon Ier refusa d’admettre la décision du 18 juillet 1870* (alors qu’elle avait pourtant déjà accepté beaucoup d’éléments de la doctrine) et elle entra en schisme. Elle se nomma Église gallicane et elle existe encore.
Comme déjà dit, l’Église chrétienne catholique romaine qui existe actuellement naquit le 18 juillet 1870*.
Les « racines » de la France ne sont pas seulement chrétiennes et il y a notamment les antichrétiennes. Quoi qu’il en soit, ce fut le pape Jean-Paul II qui lança l’argument des « racines chrétiennes » pour tenter malhonnêtement de justifier la conservation et un nouvel accroissement de sa religion en Europe. Comme tous les papes, et les aspirants à l’être, il était assoiffé de pouvoir et de la jouissance par la domination, et d’un orgueil comme seuls au monde les papes de Rome en ont, chacun d’entre eux se considérant roi des rois et gouverneur du monde. Les papistes, les vrais, comme tous les autres Français, devraient se souvenir, ou plutôt apprendre enfin, malgré l’obscurité où les mirent les meneurs papistes influents jusque dans les établissements publics d’enseignement, que l’anti-ultramontanisme puis la lutte notoire contre lui furent des éléments inhérents à la religion étatisée en France depuis Clovis Ier, et que l’évocation desdites « racines chrétiennes » de la France devrait donc produire l’interdiction immédiate de l’actuelle religion papiste. Inutile de vouloir remplacer cela en se précipitant dans ladite Église gallicane car il y a des arguments pour dire qu’elle aussi devrait être interdite.
Selon Valls et ses partisans, il faudrait ne rien reprocher à l’ultramontanisme, ne pas le combattre, le laisser grandir de plus en plus jusqu’à dominer. Ce serait notamment la fin de la souveraineté française en France, et le clergé papiste se retrouverait être le pouvoir public, selon son ordre hiérarchique, le pape trônant.
À ce sujet, Valls est objectivement un agent du Vatican, un traitre à la France.
Il est surtout très ignorant, très inconscient, et ne se rend pas compte de ce qu’il dit et de ce qu’il fait.
Mais, dans l’Église papiste, les adeptes de base n’ont pas besoin de tout comprendre. Il suffit qu’ils obéissent en agissant de manière à favoriser leur religion et sa domination, celle de son clergé qui est censé avoir la connaissance et agir comme il faut.
Cette Église papiste aime aussi tout individu non-papiste qui agit dans son intérêt.

Par ailleurs, même sans la conception ultramontaine, l’Église chrétienne catholique romaine est nuisible par nature du point de vue de la liberté et de l’égalité en droits car, même sans elle, son but est la domination complète de tout groupe d’humains, idéalement de toute l’humanité. Son but est de créer ce qui, en langage religieux chrétien, est appelé le règne de Dieu sur la Terre, c’est-à-dire le règne d’elle-même, sur toute la Terre si possible mais sinon sur la moindre parcelle de terre. (Autrefois, ça se faisait à la manière anti-ultramontaine et, désormais, ça se ferait à la manière ultramontaine.) Tous les papistes qui, dans leur prière principale, souhaitent la création du prétendu règne de Dieu sur la Terre réclament la création d’une domination la plus forte possible dont l’apogée du Moyen-âge donna un aperçu. (Cette fois, la situation serait aggravée par le caractère ultramontain qui existerait.)
Selon les évangiles papistes, le prétendu J.C. aurait notamment déclaré ceci, directement ou par parabole. « Quand à mes ennemis, ceux qui n’ont pas voulu que je règne sur eux, amenez-les ici, et égorgez-les en ma présence » (évangile selon la lignée de Luc, XIX, 26-27). « Et vous serez haïs de tous à cause de mon nom », « N’allez pas croire je sois venu apporter la paix sur la terre ; je ne suis pas venu apporter la paix mais le glaive. Car je suis venu opposer l’homme à son père, la fille à sa mère et la bru à sa belle-mère ; on aura pour ennemis les gens de sa famille. Qui aime son père ou sa mère plus que moi n’est pas digne de moi. Qui aime son fils ou sa fille plus que moi n’est pas digne de moi. » (Évangile selon la lignée de Matthieu, X, 21-37). (Ces citations semblent être de la Bible de Jérusalem, Cerf, 1990*.) Il y a d’autres affirmations de ce genre avec notamment, pour les groupes d’habitants qui refusent de recevoir la prétendue « Bonne parole », l’extermination collective avec encore plus de rigueur que pour Sodome, ville qui aurait été détruite ainsi qu’une autre ville à cause de comportements homosexués de leurs habitants, ce qui déplaisait au prétendu dieu créateur du monde.
Il y a aussi les innombrables textes de ce que le papisme appelle la Tradition, qui est la deuxième des deux sources d’elle-même, celle qui est immensément plus abondante que la première qui est la Bible papiste. Dedans, il y a notamment le Syllabus de 1864 P.T.C. où cette Église répéta qu’elle avait le droit d’utiliser la violence pour atteindre son but, qui est la domination mondiale complète.
Toute l’histoire du christianisme en général et notamment celle de l’Église papiste montre le but de tyrannie complète. Partout où des religions chrétiennes sont étatisées, c’est-à-dire placées dans la vie publique, elles n’en sortent jamais volontairement. Lorsqu’elles en sortent plus ou moins, c’est parce qu’elles en sont évacuées, chassées.
L’Église papiste est par nature incompatible avec la République française. Lorsque des gouvernementaux et leurs partisans disent qu’une compatibilité est possible,
c’est parce qu’ils sont des cléricaux qui, soit nient la réalité en s’illusionnant sur ce qu’est cette religion, soit approuvent la domination religieuse qui existe en étant vivace et qui opprime ou, en tant que pouvoir ténébreux, trompe et endort jusqu’à la subjugation.

Selon Valls et ses partisans, il ne faudrait rien reprocher à ce programme de tyrannie. C’est la partie la meilleure et la plus caractéristique du développement de la nation française que Valls veut anéantir.
Il semble impossible qu’il ne soit pas conscient de cela.

En France, l’Église papiste cherche toujours à être et de plus en plus présente dans la vie publique, si possible jusqu’à y être complètement, jusqu’à l’avoir complètement en mains. Son premier élément caractéristique est la recherche égoïste de la jouissance par la domination même si ça nuit à des humains pour lesquels elle n’a jamais la moindre pitié, ce qui serait très insuffisant. Tous les moyens lui sont bons, depuis les tueries massives des opposants faites pour être connues par tous les humains possibles jusqu’à l’emploi des perfidies mentales et toutes les manœuvres possibles dans l’ombre. Cette religion n’est jamais contente de la domination qu’elle a car, par rapport à son but, elle considère toujours que ce qu’elle a est presque rien. À elle, c’est-à-dire aussi à chacun de ses adeptes, les vrais, il est inhérent de considérer que, chaque fois qu’ils ne peuvent pas dominer autant qu’ils veulent, ils sont des victimes, des opprimés, des persécutés.
L’Église papiste vit en très grande partie de sa présence dans la vie publique mais il n’y a pas que cela car cette valorisation artificielle lui fait avoir encore une grande influence sur ses adeptes, en grande partie parce qu’ils sont très ignorants de ce qu’est vraiment leur religion. Et puisque ça existe, ça lui fait avoir une présence dans la vie publique. C’est la boucle.
Mais la Révolution française montra ce qui peut arriver en peu d’années.

Après la fin de la Deuxième guerre mondiale, l’Église papiste entière se mit à se donner parfois une vague apparence première moins tyrannique, sans rien changer à sa position de fond. Le pape Paul VI renonça à se faire transporter de temps en temps en un baldaquin et surtout à porter la tiare persane à trois couronnes qui est expressive notamment de son projet de domination mondiale mais cette tiare est prête à être réemployée. Dans les années 1960 P.T.C., au Concile de Vatican II, l’Église papiste annonça admettre la liberté religieuse. Ce fut l’une des causes d’un schisme qui exista. Mais que désigne ce nom ? Il désigne, mêlée à quelques hypocrisies, la situation dans laquelle cette religion a la possibilité illimitée d’agir dans le but de créer, conserver et accroitre sa domination, jusqu’à être complète, ses adeptes devant agir en ce but « jusqu’à l’effusion de leur sang ». Ce serait probablement dans le troupeau lancé à l’assaut qu’il y aurait ces morts, pas dans les bergers. Comment le sang de papistes pourrait-il couler dans cette action conquérante ? Il coulerait parce que ces papistes rencontreraient des opposants qui ne se laisseraient pas faire, que ces papistes insisteraient, et que le conflit deviendrait violent, guerrier, avec des papistes tués, et il n’y a pas que dans leur camp qu’il y aurait des morts. Pour l’Église papiste, ladite « liberté religieuse » est la liberté du tyran, le contraire de la liberté.

Le pape Jean-Paul II lança ladite Nouvelle évangélisation et fut ainsi désastreux pour sa religion. (Comprendre d’abord que les textes nommés évangiles n’étaient pas les seuls en jeu mais n’étaient qu’une très petite partie de ce qui l’était. Ça fait partie de la tromperie faites aux adeptes de base.) Lancer cela impliquait son constat que la première évangélisation était terminée et qu’elle avait échoué, tellement échoué qu’il fallait en refaire une autre. Ce pape espéra surtout que ce seraient les jeunes papistes qui repartiraient à la conquête du monde afin d’augmenter la domination égoïste de leur religion, d’eux-mêmes, et de pouvoir jouir de cela, sans la moindre pitié pour leurs victimes, et en devant être prêts à mourir dans le combat à cause de l’opposition dont le pape prévoyait l’existence. Le but était d’augmenter la domination de leur Église sur le monde, c’est-à-dire de faire disparaitre toutes les autres conceptions et leurs partisans, dans le but de créer la tyrannie mondiale complète de l’Église papiste, le régime criminel du prétendu règne de Dieu sur la terre comme au ciel.
Voici des extraits d’un discours qu’il prononça le 11 avril 1987 A.L.P.J.C. à l’occasion de ladite « Journée mondiale de la jeunesse » papiste du 12 avril, jour où il n’y eut pas de discours papal adressé aux jeunes papistes. (La Documentation catholique, 24 mai 87.) « Très chers jeunes, […] nouvelle évangélisation [...] dépasser sa vie jusqu’à la perdre, s’il le faut pour le Christ. Ce sont là, en effet, les paroles avec lesquelles le Christ s’adresse à chacun de nous : "Celui qui veut sauver sa vie la perdra. Celui qui perd sa vie à cause de moi la sauvera." (Lc, 9, 24). [...] Aussi, mes chers jeunes, je veux à nouveau vous engager aujourd’hui à devenir les apôtres d’une nouvelle évangélisation pour construire la civilisation de l’amour. [...] Soyez prêts à livrer chaque jour votre vie pour transformer l’histoire. [...] Nous nous approchons du troisième millénaire : vous serez alors les principaux constructeurs de la société, […]. » (Fin de citation.) (Lorsque des papistes parlent religieusement d’amour à des non-papistes, l’amour d’un ogre pour ses proies, il faut fuir ou détruire.)
Voici des extraits d’un discours que le même pape prononça le 19 aout 89 lors de ladite « quatrième » J.M.J. papiste à la ville espagnole Sot-Jacques-de-Compostelle. (La Doc. cath., 1er octobre 89.) « [...] Vous êtes venus à Saint-Jacques-de-Compostelle, pour redécouvrir, ici, les racines de notre foi, pour vous engager, avec générosité, dans la "nouvelle évangélisation", au seuil du troisième millénaire. [...] la Vérité, c’est Jésus-Christ. Aimez la Vérité ! Vivez dans la Vérité ! Portez la Vérité au monde ! Soyez témoins de la Vérité ! [...] Le Christ est la Vie ! Je suis certain que chacun de vous aime la vie et non la mort. [...] Seul celui qui sait aimer jusqu’à s’oublier soi-même pour se donner à ses frères, réalise pleinement sa propre vie et exprime au plus haut degré la valeur de son propre parcours terrestre. C’est le paradoxe évangélique de la vie de la racheter en la perdant (Jn, 12, 25), un paradoxe qui trouve sa pleine lumière dans le mystère du Christ mort et ressuscité pour nous. [...] "L’heure est venue d’entreprendre une nouvelle évangélisation" (Christifideles laici, 34) et vous ne pouvez pas faillir à cet appel urgent. En ce lieu dédié à Saint Jacques, le premier des apôtres qui donna le témoignage de sa foi par le martyre, engageons-nous à accueillir le commandement du Christ : "Vous serez mes témoins... jusqu’aux extrémités de la terre" (Ac. 1, 8). [...] C’est une nécessité urgente de pouvoir compter sur les envoyés du Christ, sur les messagers chrétiens. Et vous, jeunes, vous tous, garçons et filles, vous serez à l’avenir ces envoyés et ces messagers. [...] L’appel du Christ nous conduit à un chemin qu’il n’est pas facile de parcourir parce qu’il peut nous conduire jusqu’à la Croix. Mais il n’existe pas d’autre chemin qui mène à la vérité et donne la vie. [...] » (Fin de citation.)
Comment pourraient mourir les papistes lancés à l’assaut ? Ce serait parce qu’ils rencontreraient des opposants qui ne se laisseraient pas faire, que les papistes insisteraient, et que le conflit deviendrait violent, guerrier, avec des morts, et pas seulement parmi les papistes.
Les papistes n’ont pas le droit de se suicider mais le projet papal n’est pas de provoquer, d’irriter, les partisans de la liberté et de l’égalité en droits jusqu’à ce qu’ils réagissent et massacrent les assaillants. Il n’est pas cela car c’est seulement la chair fraiche que le pape envoie au massacre pour tenter de faire augmenter son propre pouvoir dominateur et celui de ses collègues et pour en jouir... sans jamais être satisfait tellement leur appétit et leur orgueil sont illimités.

Ces appels papaux à faire le djihad papiste sont, comme d’autres, pleins d’hypocrisies car l’Église papiste en faiblesse ne peut plus agir avec honnêteté mentale ? Ces discours papaux étaient conformes à ce qu’est toujours l’Église papiste mais il y eut de nouvelles impulsions, et les appels à mourir dans le combat pour la conquête rendirent notoirement visibles à ce moment que le but était contraire aux plus hauts principes de l’ordre public français.
Pourtant, le pouvoir public français, soumis, participant, ne fit rien pour s’opposer à l’entreprise papale de conquête.
Les tyrans religieux qui sont au pouvoir en France n’interdisent pas les actions dominatrices, ni les conquérantes, dont le but est de porter atteinte à tous les droits des opposants. Ce n’est pas parce qu’ils considèrent que le projet réussi ne serait pas attentatoire à la liberté et à l’égalité en droits mais c’est parce qu’ils invoquent ces principes lorsqu’ils les utilisent pour favoriser leur religion, mais ils ne s’y intéressent pas en eux-mêmes. Ils n’ont jamais eu l’intention de les utiliser pour protéger les opprimés sous les tyrannies religieuses.

Chaque sonnerie papiste de cloches exprime tout le contenu de la conception papiste avec la volonté de le faire connaitre et admettre par tous.

Est-ce que le pouvoir public français osera s’opposer à la lutte qui recommence pour réduire et si possible détruire la tyrannie papiste !?

Par ailleurs, pas un seul des jeunes béats exaltés adorateurs de papes n’obéit à Jean-Paul II, sauf si les attaques physiques de mosquées en font partie mais ça ne semble pas car elles sont contraires à ce qu’ils pourraient faire.
La cause est que ces béats ne croient pas un mot du baratin raconté par leurs idoles P.J.C. et J.-P. II.
Voilà où en est la vigueur papiste, qui se réveillera cependant lorsque le combat recommencé contre la tyrannie papiste deviendra fort.
Depuis la mort de Jean-Paul II, le Vatican ne parle plus de la Nouvelle évangélisation. Elle échoua donc en quelques années. À quand la tentative de la troisième !?
Voilà l’état mauvais où en est cette Église papiste en France (et ailleurs). En France, elle ne produit même plus assez de prêtres et elle fait appel à des étrangers qu’il sera très facile d’expulser en quelques jours. Elle utilise aussi désormais des papistes non-membres du clergé, du véritable clergé, qui sont appelés diacres, pour faire de soi-disant baptêmes. Ce rituel n’a aucune valeur religieuse véritable et, lorsque les enfants manipulés seront plus âgés, ils auront plus de facilité pour abandonner la religion placée sur eux. Les diacres font aussi des cérémonies de mariages. Depuis longtemps, chacune d’elles est seulement une cérémonie religieuse ajoutée au véritable mariage en France, celui effectué à la mairie dans les cas les plus fréquents. Les prêtres papistes prétendaient que c’était leur cérémonie de mariage qui était le véritable mariage. Désormais, les diacres ne font pas cela car ils n’en ont pas le pouvoir. Objectivement, ce qu’ils font est une cérémonie religieuse qui accompagne le seul véritable mariage qui est donc reconnu pour tel, comme des individus non-papistes font une cérémonie de tout autre genre, ou seulement l’acte d’un repas avec des membres de la famille et des amis, ou n’importe quelle autre action, peut-être aucune différente de celles de la vie ordinaire. La situation avec les diacres entraine la diffusion, parmi les papistes, de l’idée que mêmes les vraies cérémonies religieuses papistes de mariage ne sont que des rituels ajoutés au seul vrai mariage en France. Merci aux diacres, à ceux qui les désignent et à ceux qui font appel à eux, en tant que contributeurs à la destruction de leur religion !


VALLS SEMBLE COMBATTRE LES ÉGLISES CHRÉTIENNES PROTESTANTES

Si les religions chrétiennes protestantes recevaient aussi la protection de Valls, la sottise de son projet tyrannique apparaitrait notoirement. L’Église papiste n’aurait pas le droit de dire du mal des protestantismes, et ceux-ci n’auraient pas le droit de dire du mal de l’autre ! Autant dire que la déclaration de Valls vaudrait interdiction des protestantismes qui naquirent par opposition à l’autre, notamment en se moquant de la rondelle de pain prétendument transformée en du dieu par une pratique magique d’un prêtre papiste, dieu qui est mangé ! (Le vrai dieu papiste est ladite Trinité. Ce serait elle qui serait créée à partir de rondelles de pain, corps sans sang, et de vin, sang sans le reste du corps.)
Mais est-ce que Valls veut les protéger ?
S’il avait voulu faire cela, il l’aurait dit expressément pour éviter que sa parole soit comprise à la manière des papistes qui ne précisent jamais que leurs mots christianisme et chrétien désignent leur Église papiste, la seule vraie Église chrétienne selon eux, et eux-mêmes, les seuls vrais chrétiens selon eux. Tout individu conscient de cette prétentieuse habitude papiste et qui ne veut pas lui servir de diffuseur s’exprime de manière à être objectif, c’est-à-dire qu’il montre qu’il sait qu’il n’y a pas qu’une seule religion chrétienne, la papiste.
Donc, Valls semble combattre les Églises chrétiennes protestantes. S’il en est vraiment ainsi, Valls planerait aussi à ce sujet sur son nuage de sottise tyrannique bien-pensante et déguisée, il anéantirait ces religions chrétiennes en mots par non-dit. (Valls pourrait dire après coup qu’il englobait les protestantismes dans sa volonté de protection mais ce ne fut pas ce qu’il indiqua.)
Dans l’histoire de France, les adeptes des sortes de contestataires du papisme qui précédèrent les protestants furent exterminés. Les protestants furent les premiers contestataires à réussir à ne pas être exterminés par les papistes malgré plusieurs tentatives. En France, les protestants et d’anciens protestants contribuèrent au développement de la liberté et de l’égalité en droits dans la société, ce qui ne les empêche pas d’être une autre sorte de tyrans chrétiens dont le but est la domination de leur religion, le prétendu règne de Dieu sur la Terre, selon l’une ou l’autre des variétés de protestantisme.


VALLS SEMBLE COMBATTRE LES AUTRES ÉGLISES CHRÉTIENNES RECONNUES PAR LE POUVOIR PUBLIC FRANÇAIS

Même genre de raisonnement que pour les protestantismes. Inutile d’allonger le présent texte à ce sujet. (Ces religions ne contribuèrent pas au développement de la liberté et de l’égalité en droits en France.)


VALLS ET LES « ACTES ANTISÉMITES »

Ici est employé la distinction entre juifs et moïsins. Ces derniers sont les adeptes de la religion moïsine dans laquelle, par malchance pour ses adeptes, sont mélangées les notions de religion, de race et de nationalité. Ce mélange est inévitable. Une partie de lui, se constate d’après le récit de leur livre religieux où il est parlé du culte à un veau d’or. Le prétendu dieu, monstre tyrannique très orgueilleux qui voulait jouir de l’adoration que lui portaient des humains, ordonna au prétendu Moïse d’exterminer tous ses anciens adorateurs qui l’avaient abandonné pour se mettre à adorer le veau d’or. Le Moïse aurait pleurniché pour n’avoir à en tuer que certains d’entre eux, un sur dix au cas où le souvenir serait bon, ce qui fut fait. Ça montre qu’il faut être adorateur de ce prétendu dieu, c’est-à-dire adepte de cette religion, pour être dans ce prétendu peuple élu, cette prétendue race élue.
Les individus qui se disent juifs mais qui ne sont pas adeptes de cette religion ne sont pas cohérents. Ils pourraient se dire d’origine juive puis laisser cette origine se perdre dans le temps qui passe pour ne pas alourdir la vie de leurs descendants lorsqu’il y en a.
Quoi qu’il en soit, la religion moïsine n’a pas plus à être respectée par ses non-adeptes que toute autre religion. D’ailleurs, une partie de cela est fait relativement aux religions chrétiennes qui reprirent des écrits du moïsisme.
Dans l’histoire de France, les moïsins et d’anciens moïsins contribuèrent au développement de la liberté et de l’égalité en droits. En France, ils n’eurent jamais le projet de convertir les non-moïsins au moïsisme. La prohibition des signes religieux ostentatoires en certains espaces publics leur retombe dessus alors qu’il aurait fallu distinguer entre les signes d’une religion ayant un projet de tyrannie en France et ceux de religions n’ayant pas ce but. Mais, pour cela, il aurait fallu reconnaitre que des religions ont ce but alors que les hypocrites ne pouvaient pas aller jusque là.
Valls, en employant le mot antisémites, continue d’entretenir la confusion intellectuelle moïsine, soutient le moïsisme.
Il espère aussi peut-être créer malhonnêtement un amalgame en utilisant les moïsins au service de la protection des autres religions auxquelles il pensait. Aux opposants à ces religions qui ne sont pas hostiles aux juifs, il tenterait de leur faire penser que leur opposition ne vaudrait pas mieux que l’antisémitisme. Ce serait une manœuvre grossière qui ne pourrait avoir aucun effet sur des individus qui ne sont pas antijuifs.


VALLS N’ANNONÇA RIEN CONCERNANT LA RELIGION BOUDDHIQUE TIBÉTAINE

Le chef français de la religion bouddhique tibétaine aime la célébrité et côtoyer le pouvoir public. Il fit reconnaitre, par celui-ci, sa religion comme bonne. Lui et les autres adeptes de cette religion sont censés rechercher l’inexistence qu’il y aurait dans l’état de conscience appelé nirvana. On pourra aider cette religion à atteindre la non-existence en France.
Avant lui, du bouddhisme fut étatisé en France, notamment lorsqu’il y eut l’autorisation de construire une pagode dans le Bois de Vincennes.
Valls ne veut pas que cette religion reçoive la soumission de ses non-adeptes. C’est vraiment du jéhovisme qu’il veut faire dominer. C’est la soumission au prétendu Jéhovah que veut développer cet agent de ce prétendu monstre.


VALLS EST LE HÉRAUT DU NUISIBLE CONCEPT QUI EST « VIVRE ENSEMBLE »

Valls veut que les Français de France, pour ne parler que d’eux, qui ne sont pas adeptes des religions jéhovites auxquelles il pense se soumettent à ces religions, se soumettent à leurs adeptes. C’est notamment à cela que correspond le concept dont il est le héraut : « vivre ensemble ». Son projet ne réussira jamais !
D’abord, les religions qui sont associées ainsi en tyrannie le sont car chacune est en situation de faiblesse relative, mais elles se combattraient si elles avaient davantage de pouvoir. Si l’Église papiste finissait par être la seule à régner, il y aurait des combats féroces en son intérieur. Les mentalités égoïstes finissent, à cause de ce caractère égoïste, par entrer en conflit avec les mentalités semblables.
Surtout, la nation française qui fit la Révolution française finira par ne pas se laisser soumettre complètement, et par se réveiller.

Il faut lutter contre ce projet de « vivre ensemble », montrer qu’il échouera forcément.

Pour les Français qui sont conscients globalement des tyrannies religieuses, même s’ils n’en perçoivent pas toute l’ampleur, la situation collective qui existe en France est une oppression, un tyrannie.
Pour certains des autres Français, la situation est celle de la subjugation, comme au Moyen-âge. C’est-à-dire que la domination qui existe dans la vie collective est intégrée en soi, consciemment ou non, sans que l’on perçoive que l’on n’est pas soi-même mais que l’on est le produit de l’endoctrinement même s’il fut seulement collectif et pas individuel, et la situation collective de tyrannie est alors approuvée ou surtout inaperçue. Certains se pensent papistes, dautres pas. Les uns et les autres peuvent penser vivre dans une situation de séparation des religions et de lÉtat.




VALLS N’A PAS DE FONDEMENT JURIDIQUE CONSTITUTIONNEL FRANÇAIS

Valls ne peut pas s’appuyer sur des règles constitutionnelles françaises puisqu’il n’y en a pas sur lesquelles il pourrait s’appuyer. Il aurait dû indiquer sur quelles règles inférieures à la Constitution il s’appuya, qui sont forcément contraires à celle-ci.
Il est très fier d’annoncer qu’il gouverne. Il oublie que c’est dans des cadres. Pour comparer avec un grand bateau, il n’en est pas le propriétaire pouvant le mener où il veut, ni le capitaine qui n’est pas le propriétaire et qui obéit à celui-ci. Il est seulement le barreur, celui qui tient de gouvernail pour aller dans la direction indiquée par ses supérieurs, le principal étant la nation française. Et si Valls avait respecté cela, il n’aurait pas émis son affirmation.


MAIS VALLS NE TROUBLA PAS LA NATION FRANÇAISE

Jusqu’au moment de publication du présent texte sur internet, Valls ne troubla pas la nation française car il n’y eut aucune protestation fortement visible.
Pourtant, on aurait pu agir (depuis longtemps), notamment en manifestant dans les rues, pour réclamer et exiger la dissolution de l’association contre ladite islamophobie. Sa dissolution aurait montré que la religion mahométane et les mahométans en tant que tels peuvent, en France, au nom de la liberté et de l’égalité en droits, comme les autres croyances, religieuses ou non, et leurs adeptes, recevoir des reproches et des moqueries, sans aucune limite sauf celles communes à tous les habitants de France, en pouvant même émettre l’idée que cette religion ne devrait pas exister, comme eux voudraient l’inexistence notamment de l’athéisme et des satanismes, et des partisans de la séparation de l’État-pouvoir public et de toute croyance. Mais les mahométans de France ont, selon Valls, plus de droits que certains Français dont il voudrait que, à propos des religions qu’il soutient, ils n’en aient aucun. Il est regrettable que Valls n’ait pas indiqué sur quelle règle juridique, ou quelles règles, il s’appuyait, il préféra l’obscurité.
On aurait pu agir aussi pour exiger la révocation de Valls à cause de sa déclaration liberticide jéhovite.
Mais il n’y eut rien.


UN PEU D’HISTOIRE, ULTRA-BRIÈVEMENT, POUR EXPLIQUER COMMENT LA NATION FRANÇAISE SE RETROUVA DANS L’ÉTAT D’ABSENCE DE RÉACTION, À CELA ET À D’AUTRES FAITS NUISIBLES

À cause de la Révolution française, il y eut ensuite sa lignée avec des individus plus ou moins cohérents (et souvent peu cohérents), et la lignée de ses opposants. Cette dernière devint menée par la religion papiste depuis que, en 1892 A.L.P.J.C., elle renonça à associer son destin avec les royalistes après avoir compris qu’il n’y aurait jamais de restauration royaliste, monarchique ou non, en France.
Il y a une troisième lignée qui est celle des communismes. Elle est une ennemie de la Révolution française dont elle n’accepte même pas le caractère national de la souveraineté ni la notion de droits naturels qui est inscrite dans la Déclaration de 1789 A.L.P.J.C. (Son critère est l’argent, la monnaie, la richesse, leur quantité.) Cependant, cette lignée s’active parfois avec celle de la Révolution française ou ce qu’il en reste pour combattre les dominations religieuses, puis s’en éloigne en disant que le combat contre celles-ci n’est qu’un prétexte pour ne pas aborder les problèmes d’argent et elle soutient alors les tyrannies religieuses qu’elle refuse de combattre, puis elle rejoint encore la lignée de la Révolution française, puis s’en s’éloigne encore, etc. Actuellement et ce n’est pas nouveau, des Français de cette lignée de communismes sont de forts soutiens des mahométans de France et de leur tyrannie en ce pays. Ça semble être arrivé ainsi : d’abord la protection des travailleurs immigrés contre l’exploitation au travail, puis la protection des immigrés en tant que tels, puis l’action favorisant l’immigration et même l’immigration illégale, puis l’action en faveur de la religion la plus exhibitionniste de la population immigrée. Le slogan : la religion est l’opium du peuple est abandonné à nouveau. Les communismes sont devenus les grands fournisseurs de votants pour l’extrême-droite. Leur soutien au mahométisme n’est pas la seule cause.
Il y a une quatrième lignée qui est celles de l’anarchie selon une deuxième signification de ce mot. Elle est aussi une ennemie de la Révolution française et rien de plus n’est écrit.

Cela dit, le principal combat qui existe est entre la lignée de la Révolution française et celle de la Contre-révolution qui est désormais menée par l’Église papiste, mais il mena à une situation de confusion des deux lignées.
Après ces généralités, voici l’évocation d’un peu plus de détails en grandes lignes.

Dans la lignée de la Révolution française, celle de la République française qui en sortit, il y eut un mouvement de développement, une dynamique, qui fit supprimer des éléments de tyrannies religieuses, notamment lorsque les républicains, plus ou moins restreints ou complets, surtout restreints, de la Troisième république française supprimèrent, à partir de 1879 P.T.C., de nombreux éléments de tyrannies religieuses. Mais l’Esprit nouveau, clérical et déliquescent, arriva au pouvoir en 1889*. Il fut renversé en juin 1899 P.T.C. à l’occasion de l’Affaire Dreyfus, lorsque la nuisance papiste fut à nouveau révélée. Alors commença la période dite de la Défense républicaine où la dynamique républicaine se mit encore à l’action.
Elle commença de nouveau à disparaitre en 1904 A.L.P.J.C. Elle était à bout de souffle lorsqu’elle produisit la loi du 9 décembre 1905* dite « concernant la séparation des Églises et de l’État » mais ne l’établissant pas complètement. (Ce principe de séparation existait déjà dans la vie publique, avec des conséquences.) Cette loi avaient des aspects anticléricaux, c’est-à-dire favorables à la réduction des tyrannies religieuses, et des aspects cléricaux, c’est-à-dire favorables aux tyrannies religieuses. Le 3 juillet 1905 A.L.P.J.C. à la Chambre des députés, juste avant le vote sur l’ensemble du projet de loi tel que résultant des votes par articles, des membres du côté gauche s’exprimèrent et il y eut notamment ceci. Antoine Gras. « […], je n’envisage pas sans un certain effroi le lendemain de la séparation [telle que mal faite par le projet de loi qui allait être soumis au vote] et la réforme que nous accomplissons. […] Je dis et je répète que la réforme que nous accomplissons si laborieusement pourrait bien être un saut dans un inconnu redoutable. » Maurice Allard. « Nous considérons cette loi comme absolument inefficace contre l’Église, pour la diminuer dans sa malfaisance politique et sociale, et nous la considérons même comme dangereuse, car nous nous demandons avec anxiété ce que l’Église pourra faire de l’instrument que vous allez lui mettre entre les mains. »
La dynamique antirépublicaine, c’est-à-dire cléricale, qui existait donc désormais fit que des individus de la lignée républicaine, c’est-à-dire des anticléricaux, se moquèrent de ce qui se passait sous l’impulsion du Gouvernement en appelant cela Détente républicaine : les gens au pouvoir avaient renoncé à combattre les tyrannies religieuses, surtout la papiste. Cette dernière ne pouvait ainsi que continuer à se développer et c’est ce qui arriva.
Puis, il y eut la Première guerre mondiale.
Puis il y eut le rétablissement de relations avec le Vatican en 1920 P.T.C.
Puis arriva la fin du très peu de dynamique républicaine qui existait encore, fin qui était devenue inévitable vu le déroulement antérieur. Ce jour fatal à la dynamique de la République française fut le 10 avril 1925 A.L.P.J.C. Ce furent les évêques papistes qui menèrent l’assaut avec l’appui des pouvoirs papistes d’argent qu’ils avaient appelés notoirement à agir. Cette affaire est racontée dans un article publié sur le présent site.
Ce qui provenait de la République française avait perdu sa mentalité et il resta des histoires de recherches de pouvoir et d’argent.
Ce fut désormais la dynamique de la Contre-Révolution, menée par l’Église papiste, qui mena l’histoire en France, et ceux des pouvoirs d’argent, réactionnaires, exploiteurs, qui avaient contribué à cette victoire s’activèrent aussi. Il n’y eut plus de décisions pour réduire la tyrannie papiste ni d’autres. (Le Front populaire de 1936* ne fut pas anticlérical. Après la défaite du 10 avril 1925*, le Parti communiste ne le fut plus, pas à cause de ses habituelles successions de jonctions et d’éloignements de la lignée de la Révolution française où il y a la République française mais parce que la dynamique de celle-ci avait été vaincue. Le P.C.F. appela même les papistes prolétaires à le rejoindre. Pareil pour d’autres groupes. Ce fut parce qu’il n’y avait plus d’anticléricalisme actif que les prolétaires papistes purent agir avec les prolétaires de gauche, communistes et autres, dans le Front populaire.)
La dynamique de la Contre-révolution mena, à l’occasion de l’invasion allemande nazie de 1940 A.L.P.J.C., d’abord au Coup d’État du 10 juillet fait par la Chambre des députés et le Sénat de ce qui restait de la République française lorsque, en indiquant dans une loi les trois principes nouveaux à respecter, le travail, la famille et la patrie, elle supprima les trois précédents, la liberté, l’égalité et la fraternité, renversant donc la République française. (Les trois nouveaux principes devaient donc être compris d’une manière contraire à la liberté et à l’égalité en droits en relevant globalement du papisme vainqueur. Il y avait la réponse aux aventures financières, la conception des bergers papistes faisant l’élevage des humains de leur troupeau et qui devaient se reproduire et la patrie papisée avec une occupation militaire étrangère.) Un autre Coup d’État exista comme suit. Avant le vote de cette loi du 10 juillet qui donnait notamment à Philippe Pétain les pleins pouvoirs exécutif et législatif, les membres des deux assemblées et le vice-président du Conseil Pierre Laval avaient convenu que ces deux assemblées continueraient de siéger jusqu’à l’entrée en vigueur de la « nouvelle constitution de l’État français » que Pétain était chargé d’élaborer (et qui devait être, d’après cette loi, soumise au vote de la nation, qui pouvait donc l’approuver ou non), et il avait été convenu qu’un texte indiquant cela serait promulgué peu après le vote de la loi. En conséquence de celle-ci, le lendemain 11 juillet, Pétain fit commencer un nouveau régime politique nommé « État français » et décida notamment que les deux assemblées continuaient d’exister, comme ce qui avait été prévu, mais ne pouvaient plus siéger, contrairement à ce qui avait été prévu. Ainsi fut effectué en douceur un Coup d’État. Le fascisme français fut au pouvoir.
La République française n’existait donc plus et la France retrouvait, selon l’opinion papiste d’alors, sa prétendue vocation, ladite vocation chrétienne, sous-entendue : papiste, avec son pouvoir qui vient d’en-haut. Ce fut seulement l’aspect réalisable de la conception papiste véritable, et qui était très atténué à cause de l’hostilité française ordinaire et de l’ignorance ordinaire des papistes de base au véritable projet de leur religion, tout cela dans le cadre de l’occupation allemande nazie.

Il fallut cette occupation nazie de la France durant la Deuxième guerre mondiale, l’action du nazisme en d’autres pays, d’autres fascismes, notamment le français, pour que certains papistes de base français, de vrais papistes, se mettent à accepter les principes de liberté et d’égalité, c’est-à-dire la République française, la vraie, et que, dans la fin de la guerre, celle-ci qui se retrouvât au pouvoir... mais sans le recommencement de la dynamique républicaine.
Aussitôt, Charles de Gaulle s’occupa de blanchir son Église, d’abord son haut-clergé, en l’entrainant au pouvoir avec lui et en faisant cesser la purge qui commençait pour ses membres. Plus tard, la partie honteuse de la population papiste eut des problèmes pour admettre que la période pétainiste faisait partie de l’histoire de France, et peut-être pour admettre d’autres idées à ce sujet, cherchant à étouffer cela en disant que ça concernait le passé et qu’il ne fallait plus en parler, ou en jouant avec le mot État, et peut-être avec d’autres arguments, et il n’y eut encore jamais la reconnaissance que ce fut l’Église papiste qui fut alors au pouvoir, de manière atténuée comme évoqué ci-dessus. Par ailleurs, lors du bicentenaire du début de la Révolution française, le Président de la République François Mitterrand décida qu’il n’y aurait pas de célébration de la Révolution mais seulement une commémoration (mais il fut débordé de partout), et celle-ci fut concentrée sur l’année correspondant du début de la Révolution.

Les papistes de France, les vrais, qui acceptèrent les principes républicains, n’eurent jamais l’intention de déduire qu’ils impliquaient l’absence de tyrannie papiste.

Les évêques papistes de France qui, comme toute l’Église chrétienne catholique romaine en tant que telle, avait toujours combattu la Révolution française et la République française qui en sortit, savaient que celle-ci est, par nature, hostile à leur religion, incompatible avec elle. Ces évêques sauvés par de Gaulle lancèrent officiellement l’action conquérante par hypocrisie, l’action par corruption de mots, ce qui ne fut pas une technique complètement nouvelle, même ailleurs que chez les papistes de base, le mot république de la République française l’ayant été en février 1892* par le pape Léon XIII. En 1945 A.L.P.J.C., le mot laïcité fut transformé par les évêques pour exprimer de la domination papiste mais les papistes de base ne comprirent pas l’ampleur de la perfidie et, acceptant désormais ce mot, ils lui donnèrent une autre signification plus proche de la réalité et du fait qu’ils avaient désormais vraiment accepté certains éléments de la République française.

La mentalité dominatrice qui est inhérente aux papistes, aux vrais papistes, les poussa à développer la domination de leur religion par mille moyens, notamment dans l’obscurité, par malhonnêteté intellectuelle, déguisements, contournements des règles étatiques contraires. Ils créèrent ainsi des monstruosités intellectuelles, qui n’étaient pas les premières, pour tenter de concilier les principes de liberté et d’égalité en droits, et leurs conséquences, avec leur contraire qui est la domination de leur religion dans la vie publique. Au moins un protestant s’occupa de faire pareil.

Les quelques évocations indiquées ci-dessus très brièvement, sans précisions ni références, expliquent ce qui arriva. Dans le cadre juridique de la République française qui était de la lignée de la Révolution française, et avec une dynamique de la lignée de la Contre-révolution, des idées de ces deux lignées furent mélangées dans une grande confusion, un grand chaos intellectuel, un grand fatras, une grande folie. (C’est la France jésuitée. Le nom qui pourrait être donné à la période qui exista en France depuis le 25 aout 1944* pourrait être République française jésuitée.)
C’est notamment pour cela qu’une partie de la population de France, et aussi des étrangers à l’étranger, individus qui ne furent pas endoctrinés efficacement, corrompus efficacement, dans les écoles publiques françaises, sont héberlués car n’arrivant pas à comprendre qu’on parle en France de séparation de l’État et des religions alors qu’on y voit des dominations religieuses établies par l’État, surtout la papiste. Il y a notamment les sonnepiques de cloches, les fêtes papistes du calendrier et leur indication dans des émissions de télévision relatives à la météo (avec parfois des assainissements), les bonnes relations avec des chefs sacerdotaux, des noms de saints papistes et d'autres choses pour des lieux publics, les cruciberks et statues diverses sur les lieux publics. C’est pour cela aussi que les mêmes et d’autres disent que la laïcité est une notion difficile à comprendre. Ils ont raison de ne pas arriver à comprendre la folie ainsi nommée. Seules les mentalités tordues arrivent à se donner l’illusion de comprendre la monstruosité intellectuelle. Elle est cela, comme toutes les autres perfidies mentales papistes où les tyrans religieux tentent de concilier en idées les principes de liberté et d’égalité et leurs conséquences, avec des éléments de la domination religieuse, des dominations religieuses, la papiste étant la plus forte.
Car la papiste n’est pas la seule.

Une autre religion qui est très active est la mahométane.
D’abord, le développement évolutif vers l’évacuation des religions qui étaient déjà dans la vie publique française ne fut pas complet mais, en attendant la continuation du processus de séparation, il n’autorisait en rien l’introduction d’une nouvelle religion dans cette vie publique. (D’autres religions furent aussi introduites.)
Ensuite, ce ne fut pas à cause des principes de liberté et d’égalité en droits que le mahométisme fut étatisé en France, créant sa tyrannie. Si les principes avaient été respectés, ça n’aurait jamais existé. Mais des saletés intellectuelles existaient afin de justifier la domination papiste déjà existante et son accroissement. Lorsque des mahométans arrivèrent en France métropolitaine en voulant faire étatiser leur religion, ils trouvèrent cela et s’en emparèrent pour les utiliser au profit de celle-ci. Ce faisant, ils se christianisèrent à ce sujet. Les idéologues papistes ne purent pas empêcher cela car il aurait fallu qu’ils disent que c’était seulement au profit de leur religion qu’ils avaient tout préparé.
Le pouvoir public français finit par constater que des mahométans ne comprenaient pas la mentalité tordue qui dominait en France et il décida que des chefs religieux mahométans devaient apprendre ce qu’était la laïcité (de leur folie) et, pour cela, il les envoya finalement recevoir des leçons chez des ennemis de la vraie laïcité : des papistes notoires militants et enseignants. Ce faisant, ces chefs religieux mahométans se font christianiser papistement à ce sujet.

Nation française ! tu ne voulus pas que l’Église papiste et les autres religions étatisées en France depuis longtemps soient évacuées de ta vie publique, séparées d’elle, afin de créer un régime sans tyrannies religieuses, un régime de liberté et d’égalité en droits, et tu voulus même accroitre ces tyrannies. Le résultat fut ce que tu avais voulus et il y eut aussi ce à quoi tu n’avais pas pensé. Tu te retrouvas en train d’introduire la religion mahométane dans ta vie publique, tu créas une tyrannie mahométane en France, et tu en as déjà les premières conséquences.

Mais il n’y a pas que cela qui provoqua l’absence de réaction forte à la connaissance de l’existence d’une association voulant obliger au respect de la religion mahométane et de ses adeptes ainsi qu’à la déclaration liberticide jéhovite de Manuel Valls le 31 juillet 16.
À côté de cette affaire de croyances dominatrices et mêlées à elle, il y avait depuis toujours d’autres problèmes et il y en a encore, tous ceux déjà connus dans la société et ceux qui sont encore ignorés collectivement.
Tout fut mêlé dans le chaos mental et la France entra finalement en pourriture.

L’état mental de la France pourrie est indigne de ce qu’il y a de mieux en France, où il y a de la clarté intellectuelle (relative à chaque époque), de la lucidité, avec une langue qui permet d’être précis lorsqu’on cherche à exprimer clairement quelque chose qui n’est pas de l’insanité intellectuelle, même si cette langue n’est pas toujours employée selon toutes ses règles, que ce soit oralement ou par écrit.
L’état mental de la France pourrie correspond à la ténébreuse Église papiste qui est prête à tout pour dominer toujours plus, ainsi qu’aux autres religions ténébreuses.
Depuis la fin de la Deuxième guerre mondiale, cette religion papiste s’est encore écrite de nombreuses nouvelles pages d’histoire qui lui sont déshonorantes et elle se plaindra encore du fait qu’on dise du mal d’elle. De nombreuses pages d’avant ne sont pas encore connues collectivement.

Et il n’y a pas que ce qui existe au niveau mental car les conséquences dans la vie sont énormes. Au lieu de continuer à laisser avancer le déroulement naturel, l’évolution, les tyrans religieux papistes voulurent faire revivre des moments du passé, voulurent tenter de faire cela, de recréer idéalement, l’empire de Charlemagne et celui de Charles-Quint, ce qui fut expressément indiqué. On voulut faire marcher la France vers le passé, avancer en reculant, avancer en étant tourné vers l’arrière, et du grand malaise en résulta même lorsque la cause n’est pas connue. Ce fut fait par la création de traités internationaux relatifs à la folie de ladite construction de l’Europe, dont le premier but est la protection de ladite civilisation chrétienne, qui se donna pour drapeau celui représentatif de ladite Sainte-Vierge-Marie-Mère-de-Dieu, et qui reçoit le soutien constant, la poussée constante, ouvertement répétés, des papes successifs, qui comptent beaucoup sur cette manière malhonnête de faire dominer leur religion. Ce ne fut pas créé par la France de la Révolution française qui s’allia avec des pays qui luttèrent contre celle-ci et effectuèrent à partir de 1814 A.L.P.J.C. la restauration d’une monarchie. Ce qui s’activa ainsi fut la France de la Contre-révolution, celle-ci étant modérée car elle s’était faite un peu évoluer.
Ce mouvement rétrograde n’empêcha cependant pas la vie de jaillir de partout mais, globalement, il y a du désastre.
Pour certains individus qui ignorent la cause, et pour d’autres, il y a du malaise qui peut mener à ne pas arriver à vivre. (Désormais, avec le présent site internet qui apporte de la lumière, le sens de la vie peut être retrouvé et il est possible de s’engager dans la vie, dans le déroulement normal de la vie, notamment dans le combat qui recommence.)

Parmi les participants à la France pourrie, les réactions à la connaissance de l’existence d’une association voulant obliger au respect de la religion mahométane et de ses adeptes ainsi qu’à la déclaration liberticide jéhovite de Manuel Valls le 31 juillet 16 (comme à de nombreuses autres connaissances de faits) ne peuvent pas avoir de poids car elles ne sont pas les conséquences d’une conception cohérente, claire et acceptable collectivement.

Depuis des dizaines d’années, la France tombe de plus en plus bas, est au fond du trou, et on se demande ce qu’il peut y avoir de pire, et il y a toujours du pire qui arrive, et on descend toujours plus bas vers un nouveau fond, et on se demande jusqu’où la France va tomber avant de réagir, c’est-à-dire avant de se remettre sur les rails ou au moins de commencer cela.
Une des réactions fut de continuer à être en retrait du chaos, ou de s’y mettre nouvellement, parfois avec un grand dégout. Il y eut notamment l’abstention de participer au fonctionnement de la pourriture, c’est-à-dire à son existence, et l’attente de la renaissance. Les plus conscients savent que, dans le développement évolutif des humains, il y a parfois des moments de recul, qu’il est vain de faire comme si ça n’existait pas et qu’il faut les laisser passer. Pendant ce temps, des apports positifs d’avant se répandent dans une partie de la population arriérée qui y était d’abord hostile alors qu’une autre y reste farouchement opposée. Pendant ce temps aussi, il est cependant possible d’exprimer son opposition et de préparer la renaissance.
C’est ainsi que, parmi des informations qui finissent par arriver en provenance de la France pourrie, la connaissance de l’existence d’une association voulant obliger au respect de la religion mahométane et de ses adeptes ne provoqua pas de réaction massive parmi leurs opposants notoires. C’est aussi ainsi que la déclaration liberticide de Manuel Valls du 31 juillet 16 n’en provoqua pas non plus.


DÉCISION DE CRÉER LE PRÉSENT SITE INTERNET

La déclaration liberticide jéhovite du 31 juillet 16 ne fut pas la cause directe de la création du présent site internet.
Elle aussi aurait été laissée sans réponse mais une réaction individuelle d’hostilité fut connue et ce fut elle qui fit décider d’agir par un site internet. Finalement, ça mena à la création du présent site.

Il y a le chaos très encombré, surchargé, de la France pourrie.
Il y a aussi le vide immense de l’absence, pour la vie publique française, d’une conception cohérente, claire, favorable à la liberté et à l’égalité en droits naturels et leur conséquences et qui soit donc acceptable par tous les membres de la nation française, sauf par ceux qui s’obstinent à faire dominer leur égoïsme et qui méritent d’en recevoir les conséquences.

Dans ce vide immense, il fut donc décidé de commencer à placer une conception voulue comme indiquée ci-dessus (même si elle ne l’est peut-être pas complètement).
Venant du monde des idées et manifestée dans ce vide, et aussi dans le chaos, quel effet aura-t-elle sur celui-ci ? Est-ce que le présent site finira par provoquer le début du réveil de la nation française ? Est-ce qu’est enfin arrivé le moment de sortir du tombeau où des tyrans voulaient faire vivre afin de se satisfaire ? Est-ce qu’est enfin arrivé le moment de combattre ceux-ci ?

Nul ne le sait.
Même si le présent site finit par être empêché rapidement d’exister, il est pensé qu’il marquera l’histoire.
Quoi qu’il en soit, il est certain que la nation française qui fit la Révolution française, ce qui bouleversa en bien sa vie pour toujours, finira par retrouver la lumière et par sortir ainsi de son chaos mental, de sa pourriture mentale, et qui a des effets sur toute sa vie. Notamment, le projet de Manuel Valls et ses soutiens échouera forcément.
Est-ce que le début du changement est maintenant ? Ça dépend de chacun !


ARRIVÉE DE LA LUMIÈRE

Pour sortir du chaos mental de la France pourrie, pour sortir des ténèbres, ce qui a des conséquences sur toute la vie, il faut d’abord que de la lumière vienne. Elle apporte aussi l’explication principale suivante. En France, il y a des principes avec des conséquences, et il y a aussi des éléments contraires qui sont de trois sortes : des exceptions, des dérogations et des infractions, qui, dans la monstruosité intellectuelle, sont considérés comme étant des conséquences des principes.
La solution est d’abord de reconnaitre que ce ne sont pas des conséquences mais des éléments contraires.

Les plus lucides des lecteurs du présent texte comprennent que, par le présent site internet, c’est la lumière qui arrive dans le chaos mental, dans le fatras mental, dans la France pourrie.

Après la reconnaissance que ce qui était perçu comme des conséquences des principes en étaient des éléments contraires, quelle est la suite ?
En pensée, elle est d’abord de supprimer ces derniers.
Dans la réalité, tout dépendra de ce que la nation française décidera de faire.


NATION FRANÇAISE, QUE VAS-TU FAIRE ?

Nation française ! Tu es fière de toi parce que tu posas les principes de liberté et d’égalité en droits, avec des conséquences, tu te flattes, tu t’enorgueillis. Mais tu devrais enfin prendre conscience que tu refusas d’en déduire toutes les conséquences et que tu laissas des tyrannies continuer d’exister, s’accroitre, c’est-à-dire que tu créas cela et, en plus, tu créas de nouvelles tyrannies par des croyances.
Si tu avais été mentalement lucide, tu aurais au moins indiqué que ça existait en tant qu’éléments contraires aux principes, car tu voulais cela.
Mais tu subissais déjà l’effet soporifique et trompeur de l’influence ténébreuse, tu étais très aliénée mentalement, et tu te trompas toi-même. Tu décidas donc qu’il n’y avait pas de contradiction.
Il y eut aussi que tu te mis à mal interpréter ce que tu avais décidé avant. Par exemple, la doctrine de la loi du 9 décembre 1905* est que les croix chrétiennes placées aux croisements de routes, sur les sommets de montagnes, pointes de terre avancées dans la mer, etc. sont des éléments contraires à la liberté de conscience (c’est-à-dire contraires à la liberté en général et à l’égalité en droits), et contraires à l’absence de reconnaissances de cultes par l’État, contraires à la séparation de celui-ci et des Églises, qu’il était donc désormais interdit d’en placer d’autres ainsi mais que ceux qui existaient déjà n’étaient pas enlevés car ça aurait déplu aux papistes. Ce fut donc à cause du poids du passé de tyrannie papiste que ces éléments expressifs de celle-ci ne furent pas enlevés, qu’il y eut cette exception. Plus tard, ces éléments tyranniques furent parfois considérés par des papistes comme étant conformes aux principes, et d’autres éléments de ce genre furent parfois placés.
Il y eut aussi l’ignorance, notamment celle concernant ce qu’est vraiment l’Église papiste et celle concernant des faits importants de l’histoire de France, par exemple la loi encore en vigueur que tu créas pour renier la Révolution française, et les décisions encore en vigueur de regret religieux d’avoir tués un ex-roi et une ex-reine.

Nation française ! tu subis les conséquences de tes mauvaises décisions. Si elles te déplaisent, supprime ces dernières.
Tu pourrais donc supprimer tous les éléments de tyrannie qui sont contraires aux principes, à propos de la religion papiste et des autres qui sont aussi étatisées, c’est-à-dire placées dans la vie publique. De même que les fascismes de la Deuxième guerre mondiale firent que certains papistes acceptèrent enfin la République française, ses principes, et certaines conséquences (mais sans vouloir en déduire toutes les autres), le développement du mahométisme en France fit que des militants papistes, des papistes pieux, se retrouvèrent en train de faire évoluer un peu leur mentalité. Ils le firent et le font lorsquils reprochent au mahométisme des aspects de fond qui leur déplaisent mais sans se rendre compte que leur religion a les mêmes. Ce faisant, ils préparent quand même leur mentalité à pouvoir comprendre que ces aspects sont inacceptables par la nation française, et par toute personne voulant vivre dans une société de liberté et dégalité en droits de base, et quils doivent donc être rejetés. Il en est ainsi de laspect selon lequel les règles de la société devraient être dorigine dite divine, qui correspond à lidée du pouvoir qui vient den haut, et qui est contraire à lidée dune nation souveraine qui fait les règles. Il en est aussi ainsi de l’idée du groupe d'adeptes de telle religion qui serait supérieur à tous les autres humains. Il y a aussi laspect de fraternité entre les adeptes de telle religion et avec loppression des humains non-adeptes et lextermination de certains d'entre eux (indépendamment du fait que de la fraternité est impossible entre des adeptes dont les uns sont appelés pères des autres). En ces papistes pieux, c’est l’idée de séparation de la vie publique d’avec des religions qui se développe , même sils ne pensent pas encore à lappliquer à propos de leur religion. En outre, il est probable que le réveil du chaos de la France pourrie fera que des individus qui se pensaient papistes à cause de leur endoctrinement dans l’enfance leur fera accepter de supprimer des éléments de domination papiste contraires aux principes mais qu’ils acceptaient.

Mais ça ne sera pas suffisant !
Il faut reconnaitre que l’Église papiste n’acceptera jamais de vivre en France en étant hors de la vie publique. Elle a raison puisque son but est la domination complète, appelée règne de Dieu sur la Terre. Tant qu’elle existera elle cherchera à dominer, et toujours plus, et tous les moyens lui sont bons.
Admettre son existence, c’est admettre que ce projet puisse finir par être créé, et complet.
Il faut donc reconnaitre que cette religion est nuisible par nature à cause de ce but et il faut déduire qu’il faut l’interdire en France. Il y a d’autres causes de nuisance qui seront peut-être aussi indiquées comme causes de l’interdiction lorsque celle-ci existera.
Vrais papistes, vous avez montré largement ce qui était déjà connu avant, et qui est que votre religion n’acceptera jamais d’être séparée du pouvoir public, que vous n’accepterez jamais cela, vous qui réclamez sans cesse le prétendu règne de Dieu sur la Terre, celui complet de votre Église. Même si vous réclamiez désormais que votre religion puisse continuer d’exister seulement dans la vie privée, c’est-à-dire hors de la vie publique, il serait trop tard. D’ailleurs, comme écrit ci-dessus, il lui est impossible d’être ainsi.
En outre, il y a le problème de la doctrine caractéristique de cette Église chrétienne catholique romaine et qui est l’ultramontaine. Cette religion est nuisible par nature rien qu’à cause de cette nouvelle conception caractéristique mais il ne faut surtout pas l’interdire seulement à cause de cela.

Ce fut à cause de la présence dans la vie publique de l’Église papiste principalement et aussi de quelques autres que la religion mahométane y fut placée aussi.
En France, tout ce qui réduit la domination papiste réduit la domination mahométane, puisque la première est la cause de la deuxième.
Contrairement à l’Église papiste de France, la religion mahométane de France n’a pas encore senti passer sur elle le souffle de la liberté. Lorsqu’il passera, et vu les moyens modernes de communication, il y aura aussitôt un écho mondial, des échos mondiaux. Ça aura des effets, notamment libérateurs à long terme, sur de nombreux endoctrinés mahométans de pays étrangers. Même les pires propos tenus en France contre cette religion seront diffusés, au moment même où ils seront condamnés, et ils seront des semences de liberté, de désaliénation mentale. Il ne fallait pas vouloir être étatisés en France. Il ne fallait pas vouloir y dominer. Se faire étatiser impliquait tôt ou tard que le pouvoir public desétatiserait, chasserait, en conséquence d’une opinion hostile émise. (Dit d’une manière spéciale pour tenter de faire bien comprendre : si on veut faire dominer son dieu ennemi du prétendu Satan, on ne reste pas en France où celui-ci serait très puissant par la Révolution française et la République française qui en sortit, ou il faut s’attendre à être tôt ou tard vaincus.) Des individus de France qui sont mahométans finiront par abandonner leur religion, cette enveloppe qui ne fait pas partie de ce qu’ils sont vraiment mais qui les entoure, les imprègne et les déforme, (équivalent de la situation des papistes). Ça arrivera encore plus parmi leurs descendants.

Pour l’instant, la situation n’en est pas encore arrivée au moment de prendre ces décisions. (La Révolution française montra que, lorsque la nation française se réveille, elle peut en quelques années faire beaucoup de changements, notamment certains qui sont irréversibles.)
Pour l’instant, il faut continuer de laisser la lumière arriver. Il faut continuer de développer sa connaissance, sa conscience, arrêter de se soumettre aux tyrans (ce qui les obligera à révéler davantage qu’ils le sont), mettre en lumière le plus possible d’éléments de la France pourrie qui se développèrent dans l’ombre, briser le silence imposé. Que chacun choisisse son camp si ce n’est pas déjà fait !

La dynamique de la Révolution française, celle de la République française, renait par le présent site internet.
Le fil de l’histoire est repris.
Dans le fond, il ne l’est pas seulement au moment de la défaite de la dynamique républicaine du 10 avril de l’an numéroté 1925 par tyrannie chrétienne, car cette dynamique était déjà ultra-affaiblie et ne croyait même plus en elle-même. Il ne l’est pas non plus à un moment antérieur du début du même siècle ou d’avant, lors de l’arrivée au pouvoir des républicains laïcisateurs partiels. Le fil de l’histoire est repris au moment de la Révolution française où il y eut la fin de la situation la plus large de séparation de l’État et de croyances, époque où il n’y avait plus la référence temporelle chrétienne, plus de noms papistes pour nommer des lieux, plus de sonneries de cloches, etc. (Cela dit, même cette grande séparation ne fut pas complète et le papisme ne fut pas interdit.)

Une des rares paroles sensées de René Rémond, le meneur des cléricaux non-membres du clergé de sa religion papiste à partir du milieu des années cinquante A.L.P.J.C., fut à peu près que les anticléricaux n’ont pas dit leur dernier mot.
L’anticléricalisme ne cessa jamais en France. Désormais il redevient actif pour la vie publique.
Que d’autres manifestations du même état de conscience jaillissent, et fortement, en France !


CONCLUSION

Peu importe les défauts de fond ou de forme que l’on trouve au présent texte car il n’est pas destiné à entrer dans la vie publique française.
Ceux qui sont destinés à cela sont les projets de textes, notamment celui d’une nouvelle Constitution, après qu’ils aient été améliorés.
Avant d’aller lire ces projets par les Menus de projets qui sont à gauche de la présente page internet, lire le texte titré Pas de Sixième République pourrie d’avance mais la République française régénérée, créée par la Nouvelle révolution, en cliquant ici.





Mise à jour le Jeudi, 13 Octobre 2016 07:32